Mon expérience: teddy Givenchy

  La plupart des gens voyagent seulement parce que leurs voisins voyagent. Certains — pour se reposer de la routine alors que pour nous qui travaillons dans « l’industrie de la mode » c’est une façon de vivre. Plus des valises vous avez, plus grand est le défi : si elles entreront dans le taxi, si elles arriveront avec nous, combien y aura-t-il d’excédent… Au moins les portiers des hôtels nous reconnaissent au premier coup d’œil.
   Le plus important c’est de préparer sa valise. L’art de voyager est défini par la capacité de prendre ce qui est inutiles au lieu du nécessaire oublié. Mais trois choses sont toujours avec moi. Le petit sac Céline dans lequel tout est localisé : chèques, cartes de crédit, cartes de visite, tampons, iPad et même mes ballerines. Le plus important c’est de dormir convenablement dans l’avion avec un masque de sommeil pour n’effrayer personne à l’arriver et ne pas faire plus vieille que mes 28 ans. Un teddy Givenchy. Avec lui partout — dans l’avion ou dans la voiture — on se sent comme à la maison. Il a plein d’avantages : chaud, beau et à la douane personne ne pense que vous portez du Louis Vuitton ou du Prada. Avant quand j’avais un bonnet à pompon Marc Jacobs – il était remarqué partout : que ce soit dans un bar ou au passage du contrôle de la douane avec mes six valises. Mais, parce c’est toujours comme ça, le teddy a un inconvénient — c’est sa couleur rose pale. Et on peut toujours se cacher des douaniers, malheureusement, ce n’est pas possible ! J’aurais rêvé en acheter deux, mais je n’y suis pas arrivée simplement, parce que je suis comme Magellan, quelque part pour ouvrir de nouveaux horizons de la mode.
   Combien de fois  j’ai voyagé – un petit déjeuner à Paris, un déjeuner en Suisse, un dîner au Canada et les bagages à Buenos Aires. Le meilleur repos pour moi c’est toujours à la maison, sur un sofa sous la couverture H&M et devant la TV.

 

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